Voilà un mois que je suis « sortie » d’une longue mission pour le constructeur des autos à losange (Renault, quoi !), une mission ambitieuse et qui a été très demandeuse en termes de temps, de patience, de sang-froid, d’implication personnelle et d’esprit d’équipe. Ce qui explique mon long silence sur ce blog, car en prime, durant cette moitié d’année, 6 semaines se sont déroulées à Séville, au coeur même de l’événement. Si 90% de mon temps a été consacré à mon travail, je ne me suis pas privée pour faire des 10% restant de beaux moments à vivre et à retenir.
Séville est une ville magnifique, à redécouvrir pour les vacances, ou un long week-end prolongé…
Voici en tout cas ce que j’ai retenu de cette mission professionnelle, et de son arrière-décor majestueux…
Un trait de caractère indispensable sur place ?
La patience…
Un qualité préférée chez un homme (ou une femme) ?
Ne pas réécrire ses textes à la dernière minute…
Un luxe ?
Faire la grasse-matinée…
Un défaut ?
Les Sévillans ne sont vraiment pas doués pour la pâtisserie…
Une occupation préférée ?
Prendre en photos la beauté architecturale de cette ville…
Un souvenir d’hôtel ?
Le jour où, entendant le sèche-cheveux, j’ai cru que je l’avais allumé sans faire attention. C’était tout simplement ma voisine de chambre qui faisait son brushing. Ah, les murs du Tryp Macarena !
Le rêve de bonheur ?
Habiter ce magnifique dernier étage, collé à l’hôtel Eme, et qui a une vue imprenable sur la Cathédrale…
Une particularité locale ?
Le système de décompte destiné aux passages piétons : bonhomme rouge avec les secondes restant avant de pouvoir traverser… ou bonhomme vert avec celles restant avant de se faire écraser !
Une couleur ?
Le bleu schtroumpf, couleur des polos de notre uniforme !
Une fleur ?
Le jasmin… Il s’en cachait dans quelques coins de rues… Un bonheur le soir, en balade…
Un oiseau ?
Le pigeon, qui aime s’installer dans les moindres recoins de façades d’église. La France devrait vendre son procédé de « piques » à Séville pour ainsi empêcher que certains rejets naturels ne viennent souiller ces oeuvres magnifiques.
Un moyen de transport ?
La navette entre notre hôtel et celui de la Convention, qui partait parfois à l’heure, ou n’arrivait jamais certaines fois…
Un plaisir personnel ?
Une séance de 45 minutes de massage dans un magnifique hammam… J’ai doublé la mise en y retournant le dimanche suivant !
Une grosse dépense ?
Un ensemble de rejoneadora (torera à cheval). Boléro en laine coupé à la perfection, pantalon-jupe culotte dans la même matière… inimitable !
Une gourmandise ?
Le jamon !!!
Une « tuerie » ?
Les churros à tremper dans le chocolat bien chaud et bien épais…
La boisson du séjour ?
Le Fanta citron…
Une boisson alcoolisée ?
Le mojito de l’hôtel Eme…
L’apprentissage le plus corsé ?
Ouvrir un éventail d’un coup sec…
Une « claque » architecturale ?
La place d’Espagne…
Une odeur ?
Celle du crottin des chevaux tirant les fameuses calèches sévillanes…
Un sport ?
La marche à pieds…
Un parfum ?
« Psychédélique » de Jovoy, auquel est venu se joindre « Vitriol d’Oeillet » de Serge Lutens.
Une lecture ?
La Newsletter quotidienne de la Convention…
Le mot-clé ?
ZE « top » !
Une torture ?
Le port simultané du talkie-walkie (et son oreillette côté droit), de l’intercom (et son casque côté gauche), du micro-secours et de la pochette magique.
Un moment magique ?
La procession de la Macarena, la Vierge de Séville, un dimanche soir, tard. Silences, lumières et foi…
Un morceau de musique ?
« Baby I’m Yours » (feat. Irfane), de Breakbot…
Un souvenir télévisuel ?
« Le Patient Anglais » doublé en espagnol…
Une photo « gag » ?
Celle d’un garage, situé à deux pas de notre hôtel, et dont l’on pourrait croire que l’heureux propriétaire n’est autre que Carlos Tavares, le n°2 de Renault…
Un émerveillement ?
Le marché de Noël, à proximité de la Cathédrale, où les éléments de crèche les plus variés sont légion…
Une dernière envie ?
Celle de revenir à Séville, très vite !
Très très bonne idée, ce questionnaire adapté pour connaître la ville! A refaire, ailleurs! Bisous
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